»p¿Íuí-ni6me par la fausse ídiíe qne «jesuisi 'i retenu de force , me liit 55 proposer des mnvens iiVvasion ; il îsin'd a tressé nn individu qui , s: us » prétexté de m» rendre des objttj 5J d'art , dsvoit ine remettre nn mes»3a/;e de S." M. te Roi d'Angléterre.» ^ J' i eu bi'niót découvert et trtfiid pet E uiîéaire , qui a déclaré se nommer le B 'ton de Ko li, Irlandais, JVTinist'e de S. M- le R n d'Angleterre auprès du Prince F- rdinsnd; je le fiis conduire en poule - dr van t V Exc. , avec les papiers assez nolu-■, br-.ax dont il étoit porteur ; lef in^terrcgatQÍres que vous lui ferez subir feront , jeVéri-doute pas», coaooítre tous les détails de ses projets , et les complices qu'il p< ut avdr. D'aprfeí les pr'mièreo information» qué j'ai prises i;i , je dois croire qu'il s'y çtoit rendu seul , et qu'il n'y connoissoif personne. Je ei ois , Monseigneur , devoir profiter de cette circonstance pour Répéter à V. Exc ce que j'ai déjà eu l'honneur de lui marquer. Le J'rince Ferdinand est aniaié du m"illeur esprit ", U sent profondément' que 'S. M. l'Empereur- est son sçul appui et Sun meilleur protecteur. Une profllnde recoiiHoissacce , Is désir et vl'espoir d'être déclaré fils adoptif de 8. M- l'Empereur ; tels gont, 1*4 sentimens qui remplissent le rœur de S. A. j et c'est dags de pareilles cir constances et au railim niâme des . fêtes briHjntes par lesquelles le PrinCte cé.é.)roit le mariage de LL. 1VJM.. et réanissuit dans des banquets , au château tle Valeiiçay , tout ce qae la P-'oviiice a de plus distingué , que 1» Baron db Kolli est venu apporter. funestes "et ridicules meséagas. •'fn n'éleit a-surement plus facile. . 8 prévoir que l'accueil qui lu» a Je nesticK dctingijt t'ü-i'náam'nt ", u.c fa ^ *proposar medís de « vasid j. me lia sîdiri^it un indiriduo , que-baix a prétexte de ver.drer ohj cte.* d- art, . • » ' bastaot nuiueto que ell portaba ; 1<>$* interrogatoris que V. E/i .' Ir-- fará - faran , sens dupte , con-.ixer tetas las ' circunstancias de estos pnjfcctçj t y los complices que pot tenir. Sîgons los primers informel qus he prei , aqui i decb creuçrr que ell se habia introduit sol , y que no coneixia ninj-u. f-t . j,* Crcch, Mónscíior, que dech aprofifar de esta -circunstancia per repetir i V. Exc.1 lo que be tinguf ja lo honor de indicarir. Lo Pdnct.p F.-rnardo esta ani't.at atl jiiülor efl-&&j perit ; ell oneix Inteiiorment que S. M. lo Emperador es son uuicji sosteninjent y sou ualch protector. Un profundo, agrahiment , lo doit g y esperai.S4 de 'que será déclarât fill adoptiu de Í. M. lo Emperador ; tais son los sentiments que ompien la cor -de S. A', y en semblants eircuns! tandas , y íambe'en miti; de las j briHants festa» ab las qa» lo ^jM^fc.-" celebraba lo matrimoni ife S9. MMv,-'' y rffwia ab convit»»en ffKcaïttrll de Valençay tot l* qus 1s* provincia ..to * dé mts distii-git ^ ha vhtgu't îoBuô de Kolli ¡í ponár sos lü^estos y ridiculs recidoj. SegaranjeDt que r.o hi habia cosa mea ftxsñ dr previ iirer que lo modo a6 que ha estât rebut. -